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Presse

Un fauteuil pour l’Orchestre, le 08 mars 2024 : Laodamie, écrit par Catherine Bernard, mise en scène d’Aurore Evain, Ferme de Bel-Ebat.

« […]Les images créées sont splendides : les éclairages, subtils, dessinent des espaces symboliques et beaux, entre proche et lointain. Les costumes de Tanya Artioli, la scénographie de Carmen Mariscal, tout aussi magnifiques, se situent dans un entre-deux : on pense parfois aux vases antiques, aux mythiques Perses de Jean Prat, pour l’instant suivant être propulsés dans un univers de série dystopique, façon Game of Thrones. La fin arrive, tragique, mais sans violence aucune : douceur/douleur d’un destin de femme ; mort chuchotée ; noble sacrifice. […] » 

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Par Corinne François-Denève.


Scèneweb le

« […]« Au fond de soi, on a toujours la crainte que ces œuvres soient désuètes et que la postérité ait bien fait son tri. Mais quand je travaille sur ces œuvres de femmes effacées, je m’aperçois que ce sont bien souvent des chefs d’œuvre » conclut Aurore Évain. En réponse au déplacement historique de son autrice dans l’Antiquité, elle basculera l’action de Laodamie dans un futur façon Star Wars ou Dune et alliera flûte traversière et sons électro-organiques concoctés par Nathan Gabily, en collaboration avec Amal Alaoui et Mona El Yafi. Elle veut donner aussi à entendre la qualité d’un alexandrin qu’elle travaille donc en compagnie des interprètes avec Sophie Dauhl, collaboratrice de François Régnault,  spécialiste du genre***, histoire de montrer qu’il n’a non plus rien à envier à l’hyper-sacralisé vers racinien. 335 ans après sa création, le 11 février 1689 à la Comédie Française, il est bien temps de rendre justice à Catherine Bernard. »
 
 


France Culture — WikipédiaFrance Culture 12 janvier 2024, l’Info culturelle : 
« Théâtre : les autrices, deux fois moins représentées et beaucoup moins payées ».

 » Le festival « Paris des femmes, scène d’auteures » a débuté à Paris. Il avait été créé en 2012 pour pallier la sous-représentation des femmes parmi les auteurs de théâtre. Aujourd’hui encore, les dramaturges hommes sont deux fois plus représentés, et bien mieux payés qu’elles. « 

Avec Aurore Evain (Autrice, chercheuse et metteuse en scène) et Anne Monfort (Metteuse en scène de théâtre, de la compagnie Cie Day-for-Night, implantée à Besançon)


Causette, Hors-série hiver 2022 : « 20 histoires de femmes de l’ombre ».

Dans ce numéro hors-série de Causette regroupant 20 histoires de femmes aux œuvres percusseuses occultées par celles de confrères masculins, Aurore Evain est interviewée sur ces femmes de l’ombre qu’elle connaît bien, son travail consistant  justement à les en sortir !

Que ce soit Marie de France, dont elle à mis en scène récemment les Fables ou bien les précieuses de Molière desquelles elle se revendique, Aurore Evain nous apprend ce qu’elle sait de ces femmes oubliées, pour nous rappeler que les femmes ont une histoire, aussi bien en Arts qu’en Lettres.

Achetez le magazine ! 


Théâtre(s), le magazine de la vie théâtrale, Décembre 2022 : « Le matrimoine au théâtre ».

« Le matrimoine permet de légitimer les femmes, en tant que créatrices. »

— Aurore Evain

Pour cette fin d’année, et en signe d’espoir quant à l’année 2023, Aurore Evain parle de ses recherches et du travail effectué par les féministes sous l’égide, au commencement, du mouvement H/F, pour promouvoir le matrimoine.

2023, l’année du matrimoine ?


Mary Sidney, Alias Shakespeare

  • The New York Times  Mary Sidney, Shakespeare and the Authorship Question. Par Laura Cappelle 29/09/2022.

« Yet over the course of two hours, with just two lecterns and a few projections, Evain, who is also a theater historian, presented such a wide range of circumstantial evidence drawn from Williams’s “Sweet Swan of Avon” — as well as potential rebuttals, with vivid help from the actress Fanny Zeller — that I started questioning my own beliefs. »

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  • SCENEWEB — Qui se cache derrière l’oeuvre de Shakespeare ? Article à propos du spectacle «Mary Sidney, alias Shakespeare» d’Aurore Evain, par Marie Plantin 14/09/2022.

« Ce spectacle est une mine, il nous tient en haleine de bout en bout et opère une véritable déflagration intellectuelle.  »

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  • LA VIE — Et si les oeuvres de Shakespeare avaient été écrites par une femme ? Article à propos du spectacle « Mary Sidney, alias Shakespeare » d’Aurore Evain, par Caroline Vinet 16/09/2022.

« La dramaturge et mère des Journées du « matrimoine », Aurore Evain, propose une enquête-conférence théâtrale autour d’une question brûlante  »

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  • TOUTE LA CULTURE — Et si les oeuvres de Shakespeare avaient été écrites par une femme … Article à propos du spectacle « Mary Sidney, alias Shakespeare » d’Aurore Evain, par Magali Sautreuil 22/09/2022.

« Une chose est sûre, vous n’avez sans doute jamais assisté à pareille conférence. Si nous retrouvons l’érudition propre à la nature de l’exercice, le dynamisme, l’humour, les jeux interactifs, les citations, les joutes entre accusation et défense, la pause sucrée…, sont autant de procédés qui rendent cette conférence on-ne-peut-plus-vivante.  »

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  • Blog MEDIAPART — Shakespeare, le prête nom d’une aristocrate ? Aurore Evain mène l’enquête. Entretient à propos du spectacle « Mary Sidney, alias Shakespeare » d’Aurore Evain, par Sylvia Duverger 24/09/2022.

« Les réactions quasi épidermiques que suscite chez certains et certaines le fait d’attribuer ces œuvres à une femme témoignent de l’interdit conscient ou inconscient auquel on touche ici : celui d’un génie dit universel, mais qui ne peut s’imaginer, se penser, se décliner qu’au masculin. »

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Le Matrimoine

  • Libération: Portrait d’Aurore Evain: et si Shakespeare était une femme? – 22 juin 2022

Aurore Evain, autrice et metteuse en scène, chercheuse en «matrimoine», s’attache à faire revivre les œuvres des premières dramaturges.

Dans ce portrait, venez apprendre l’origine du mot « autrice » et suivez l’actualité de la compagnie La Subversive! Aurore Evain, à travers son histoire, vous y présente également toutes ces autrices oubliées qu’elle redécouvrit lors de sa carrière.

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  • Théâtre Public « Que crèvent les artistes », n°242, janvier-mars 2022

« Qu’elles ressuscitent les artistes » p.22-28. Aurore Evain fait part de sa redécouverte des autrices d’Ancien Régime effacées par l’Histoire. Qu’elles crèvent les artistes aura été le maître mot des Histoires du théâtre jusqu’à nos jours.  Un enterrement littéraire entamé dès le Siècle dit des Lumières, et réussi, puisque, au début du 21ème siècle en France, il ne reste aucune trace dans les dictionnaires, les anthologies, les programmes scolaires et universitaires, des « grandes autrices » du théâtre classique. Comment connaître ces artistes quand le mot même d’autrice n’existe plus?

Disponible en magasin et sur commande.

  • RFI, Spotlight on France #66, 13 janvier 2022: Molière and Women

Aurore Evain revient sur la figure incontournable de Molière à l’occasion du 400e anniversaire de sa naissance. Alors que tout le monde se bat pour s’approprier son héritage, la metteuse en scène et chercheuse met en garde l’utilisation du mot « féminisme ». Ecoutez 16’50, et voir l’article complet ici.

  • BFM Paris, 22 septembre 2021

Bonjour Paris BFM revient, dans sa revue des sujets les plus commentés sur internet, diffuse l’interview d’Aurore Evain pour la Ville de Montreuil. Voir l’émission

  • TV5 Monde, 19 septembre 2021

Aurore Evain, invitée plateau de TV5 Monde Info, « 64′ Le Monde en info ». Voir l’émission

  • France 24, ActuElles, 17 septembre 2021

Invitée sur le plateau de Virginie Hertz, la metteuse en scène Aurore Evain explique comment les femmes de théâtre ont été invisibilisées. Elle revient sur la définition de ce concept qui, loin d’être un néologisme, trouve ses racines au Moyen-âge. Voir l’émission

 

  • The New York Times, 28 avril 2021

Rediscovering France’s Early Female Playwrights. Aurore Evain, Carole Thibaut et Julie Rossello Rochet interviewées par Laura Cappelle. « A growing movement within French theater is reclaiming the work of forgotten female artists, and reviving a lost concept: le matrimoine. » Lire l’article

  • Femme Actuelle, 12 février 2021

Pourquoi il faut défendre notre matrimoine. Entretien avec Aurore Evain et Yoann Lavabre par Julie Destouches. « De tous temps, les femmes ont investi la sphère culturelle, le plus souvent dans l’ombre. Rayé des dictionnaires, le matrimoine remonte en scène. On applaudit ! » Lire l’article

  • France Culture, Affaire en cours, 29 janvier 2021

Le matrimoine n’est pas un néologisme, mais un mot effacé par l’histoire. « Qu’est-ce que le matrimoine ? Au micro de Marie Sorbier, la chercheuse et metteuse en scène Aurore Evain explique ce vocable oublié, et tente de redonner leur place à ces femmes artistes invisibilisées pendant des siècles. » Écouter

  • CharlieHebdo « On lit toujours les textes de femmes avec un doute ». Interview d’Aurore Evain, par Laure Daussy, dessins de Vuillemin, 23 sept. 2015

« [Pour juger de la qualité de ces pièces de femmes], il faut les lire, et surtout les mettre en scène, et les voir jouer. On est tellement habitués à une poignée de classiques, Corneille, Racine, Molière… déjà tellement validés que leurs textes sont vivants. Quand on les lit, on les met immédiatement en scène dans nos têtes. Pour les femmes, c’est l’inverse, leurs textes sont morts, ce sont des fantômes. On les lit toujours avec un doute. Mais dès que l’on commence à les faire revivre, c’est comme un corps qui ressuscite, tout leur talent émerge. Cela a été le cas pour la pièce de Mme de Villedieu. Les comédiens étaient eux-mêmes surpris par sa puissance. C’est une pièce « shakespearienne », qui introduit du théâtre dans le théâtre, et joue à la fois sur les ressorts de la tragédie et de la comédie. Elle avait été sélectionnée par Molière pour être mise en scène au Palais-Royal. Aucun auteur masculin de son temps n’osa mettre en scène la figure du roi avec autant d’audace. […] »

  • France Culture, La Fabrique de l’Histoire, 13 février 2019

Aurore Evain, invitée à l’émission « Ecrivaines, dramaturges, autrices : la longue histoire des femmes de lettres », pour y parler de l’histoire des autrices de théâtre et annoncer sa mise en scène du Favori de Madame de Villedieu. Ecouter

  • Télérama, « Des Journées du matrimoine pour réhabiliter l’héritage des femmes dans l’art et la culture », entretien d’Aurore Evain avec Romain Jeanticou, 26 décembre 2017

Le mot “matrimoine” a depuis longtemps disparu de la langue française. Le réhabiliter n’est pas seulement une question de linguistique, mais un moyen de valoriser le travail artistique des femmes rendu invisible par l’Histoire, avance la militante et historienne du théâtre Aurore Evain. Lire l’article

Les Contes des Fées, Marie-Catherine d’Aulnoy

  • The New York Times, 14 juillet 2022

Nos trois fées ont réussi à attirer l’attention de la journaliste Laura Cappelle parmi les 1570 spectacles! Un « Joyau », nous dit-elle, « Dans un théâtre de poche, un lundi midi, les trois comédiennes et musiciennes d’Aurore Evain ont donné vie à une reine exigeante, un prince aimable et des animaux très serviables. Comme si on avait répandu de la poudre de fées: elle flottait dans l’air ». Article  en ligne.

  • L’Echo, 16 juillet 2022

Il est temps d’arracher le pouvoir, plaide-t-elle, pas pour le détenir, mais pour en modifier la verticalité. Pour permettre de changer les imaginaires. La journaliste Charline Cauchie revient sur le spectacle des Contes des Fées à Avignon dans un article qui parle des femmes dans les salles mais aussi sur scène. Pour enfin, exploser ce plafond de verre! Article en ligne.

  • Télérama, le 9 octobre 2024

La journaliste Françoise Sabatier-Morel récompense nos trois fées de trois T dans sont articles pour télérama  » Laurent Coulondre | MEVA FESTA | TELERAMA Avec quelques accessoires, les interprètes jouent, non sans humour, une partition de musique baroque (chant et viole de gambe), trouvant un fort bel équilibre entre féerie et fantaisie, agrémenté parfois d’une agréable petite touche parodique. » Lire l’article

La Folle Enchère, de Madame Ulrich

  • Un Fauteuil pour l’orchestre, ƒƒƒ, article de Léa Suzanne, déc. 2019« Pour sa mise en scène, Aurore Évain s’est entourée d’une plasticienne (Carmen Mariscal) qui imagine un jeu de miroirs mesguischien – les images sont somptueuses, magnifiées par les éclairages subtils et bien pensés. Pour les costumes, Tanya Artioli a imaginé des créations étonnantes – en particulier pour l’héroïne, Mme Argante, mixte de Reine Vierge et de Reine maléfique Disney. Il faut dire qu’Isabelle Gomez y apporte sa technique et son abattage impeccables, portant la pièce de bout en bout. Catherine Piffaretti, en suivante rouée, joue sur les conventions de jeu « classiques » en les faisant, précisément, jouer : la partition est piégeuse, mais elle est réussie. L’épilogue de la pièce, dit avec chaleur par Julie Ménard, rappelle les mots finaux de Rosalinde dans As you like it : sauf que là, c’est véritablement une femme qui les écrit et les dit…. On ne saurait donc qu’inviter les spectatrices et les spectateurs à aller voir, sans préjugé aucun, La Folle Enchère, pièce folle et inconnue…. » Lire l’article
  • Féministes en tous genres, article de Sylvia Duverger, déc. 2019« […] L’on est séduit·e par ce théâtre dans le théâtre, ce désordre dans les identités de genre et de classe, bien servi par le jeu joyeux et les chants baroco-rock entonnés par des comédien·es polyvalent·es. Une habile scénographie fait bien ressentir, sous les exubérantes métamorphoses des personnages et leur diffraction dans des miroirs dont la place change au gré de l’intrigue, le tournis existentiel propre au théâtre. C’est aussi pourquoi l’on aime la façon dont des chansons de Mylène Farmer, de Brigitte Fontaine, de Gainsbourg, d’Higelin, d’Arthur H ou d’Eddy de Preto prolongent la saisissante modernité de certaines réparties.
    Un entrelacement ludique d’ancien et de moderne plutôt réussi, comme Aurore Evain en a le goût, l’art et le savoir, elle à qui l’on doit tout autant la résurgence du mot “autrice” que la redécouverte du théâtre des femmes de l’Ancien Régime et, au moins en partie, le récent succès des célébrations du matrimoine.». Lire l’article
  • Théâtre(s) Magazine, « Comédiennes : que jouer passé 45 ans ? », Hiver 2020, entretien avec Aurore Evain, par la journaliste Typhaine Le Roy, à l’occasion de la création de La Folle Enchère, de Madame Ulrich. Lire l’article

Le Favori, de Mme de Villedieu

  • Théâtreactu, « Le Favori, Voyage théâtral à la cour de Louis XIV » :

Article d’Alec Petit, 14 mai 2019. « …force est de constater qu’avec Aurore Evain et sa compagnie La Subversive, une nouvelle ère théâtrale s’ouvre…! » Lire l’article

  • Magazine 50/50, « Aurore Evain sort Le Favori de Madame de Villedieu, de 350 ans d’oubli »

Article de Marie-Hélène Le Ny, , 13 mai 2019. Lire l’article

  • Magazine L’Envolée culturelle : « Le Favori de Mme de Villedieu à la Tour passagère : notre favori ! »

Article de Sarah Chovelon, , 17 juin 2016. […] En bref, une pièce de belle facture, interprétée par une compagnie talentueuse et inventive : bravo à la Subversive ! »  Lire l’article

  • Magazine Hétéroclite, « La Compagnie La Subversive recrée Le Favori, première pièce écrite par une femme à être jouée devant le Roi Soleil »

Article de Yannick Mur, , n°112,  juin 2016, Lyon. @Yannick Mur :  » Excellent ! Belle découverte que Le favori de Mme de villedieu. Bravo à @auroreevain et aux comédiennes et comédiens » Lire l’article (pdf)

  • Magazine 50/50, « Madame de Villedieu : Une autrice fémininiste à la cour du Roi Soleil », article de Maylis Ardit, avril 2017. Lire l’article
  • Geneviève Fraisse, philosophe, interview pour le Magazine 50/50, sept. 2015

« Le Matrimoine met aussi en lumière des textes anciens comme la pièce de Mme de Villedieu, une autrice contemporaine de Molière, une pièce mise en scène par Aurore Evain, jouée ce week-end. Cette pièce est tout simplement magnifique. Elle parle de pouvoir politique, des effets de cour du pouvoir politique, on n’est vraiment pas dépaysé-e-s. Et ce texte est tellement beau qu’on se trouve dans une espèce de joie en l’écoutant. »

Le Lieu perdu, adapté de Norma Huidobro

  • teleramaChronique Web Radio, par Fabienne Pascaud, le 3 août 2010

« Adaptée du premier roman de l’écrivaine argentine Norma Huidobro, cette très jolie pièce est à découvrir dans le cadre des Nuits d’été argentines, à Paris, jusqu’au 8 août. L’intrigue pleine de sensualité, les comédiennes talentueuses et la mise en scène très réussie ont séduit Fabienne Pascaud, directrice de la rédaction deTélérama. »  Ecouter la chronique

  • Froogy’s delight, Critique de MM, paru en juillet 2010 « Aurore Evain réussit intelligemment son entreprise dans le registre d’un théâtre d’émotion et de violence très cinétique tant par sa structure que par sa mise en scène servis par de bons comédiens. » Lire l’article